vendredi 29 juin 2007
jeudi 28 juin 2007
J'ai craqué !
Publié par Nissouille à 09:11
Libellés : coup de folie
mercredi 27 juin 2007
Quelques idées de déco pour le mariage...
En effet, nous intégrerons un esprit de légèreté, un esprit aérien symbole de notre zen atitude et de notre amour pour les choses simple et légère (je sais pas si tout le monde comprendra mais bon c'est dificile d'expliquer... dsl)
Ensuite, vu que nous sommes tous les deux originaire de la Bretagne (nos famille viennent de là bas il y a longtemps...), et que nous adorons cet endrois rempli de mythe et de légende ainsi que de petits coins très sympa pour deux amoureux comme nous, nous avons décider d'y faire un petit clin d'oeil...
De ce fait, nous avons choisi que nos couleurs serait le vert et l'ivoire avec lesquelles pleins de choses et de créations sont possibles... Nous pourrons inclure certains éléments tels que les plumes, du lierre, le bois, ... pleins de choses en rapport avec la nature quoi !
Voilà un extrait de quelques petites idées de déco que nous adorons mon ange et moi même... C'est booooooooooooooooooo hein ... tout en vert et ivoire et quelques plumes et du feuillage... Je pense que ce style de déco sera tout à fait en concordance avec la salle que nous avons choisie... Vous l'aviez vu dans un message du mois de mai.
mardi 26 juin 2007
Joyeux anniversaire Papa...
Voilà, c'est fait. Bah ouai, quand même, 46 ans ça se souhaite....et ça se fête, enfin pas trop quand même...(hihihi, lol)
Voilà je te fais d'énormes bisous mon petit papounnet.
Publié par Nissouille à 15:17
Libellés : anniversaire
mercredi 20 juin 2007
Plus que 22 jours ouvrés...
Publié par Nissouille à 10:55
Libellés : impatience, travail
jeudi 14 juin 2007
Les journées sont parfois interminables...
Publié par Nissouille à 09:39
Libellés : la vie, le quotidien, travail
mercredi 13 juin 2007
Le moment tant attendu approche à grands pas…
Avoir un chez soit...
mardi 12 juin 2007
Comment se motiver...
Publié par Nissouille à 10:50
Libellés : coup d'déprim', le quotidien
lundi 11 juin 2007
Le lundi matin...
Vivement 18 h que je m'en aille et que j'aille retrouver mon bébé d'amour !
Publié par Nissouille à 10:15
Libellés : le quotidien, travail
vendredi 8 juin 2007
La guêpe et Clo...
Publié par Nissouille à 09:19
jeudi 7 juin 2007
Bourriquet...
Je vous avez parlé de ma deuxième passion, celle de bourriquet. Oui je sais je suis un peu grande pour tout ça, mais bon j'aime bien...
Bourriquet vit dans la Forêt des Rêves Bleus avec ses amis. Tel un Sisyphe en peluche, il ne cesse de reconstruire sa maison, si fragile qu’elle s’écroule au moindre vent, voire dès que s'y pose un papillon. Et comme si tout ceci ne suffisait pas, Il perd souvent sa queue et le joli ruban rose qui y est noué. Celle-ci ne lui est attachée que par une punaise.
C’est un âne gris / bleu plutôt mélancolique, c’est le dépressif et le pessimiste de la bande. Il est relativement âgé (3 ans) , est intelligent et discret et a toujours le moral à plat. Il n’a jamais de chance mais accepte les aléas de la vie en se disant qu’il n’a pas le choix. Il parle peu et quand il parle, c’est pour se lamenter ou s’excuser, mais il arrive parfois, à des rares moments qu’un léger sourire vienne éclairer son visage, par exemple lorsque ses amis se rappelle de son anniversaire, le 25 décembre. En outre, il déteste se faire sauter dessus.
Il vit avec ses amis dans la forêt des rêves bleus et passe sa vie à chercher une maison ou à reconstruire la sienne qui est très fragile et s’écrase au moindre coup de vent.
Il perd souvent sa queue (à laquelle est noué un très joli nœud rose), car elle est attachée à lui par une punaise. Sa nourriture préférée, ce sont les chardons. C’est un personnage très attachant et fort sympathique qui ne demande qu’à être aimé.
A savoir : la voix française de bourriquet est celle d’Henri Djanik, qui double également la voix de Baracuda dans l’agence tous risques et autres séries très connues du public…
Publié par Nissouille à 14:04
mercredi 6 juin 2007
Mes demoiselles les girafes...
Ma passion a commencée alors que je visitais le zoo de Beauval. Un été avec mes parents et de la famille. Lorsque nous sommes arrivés devant le parc au girafe je suis restée scotchée pendant je ne sais pas combien de temps devant ces grandes dames… Elles sont tellement majesteuses, magnifiques et silencieuses…
Voici une petite présentation de cet animal pour ceux qui ne s’y serait jamais intéressé :
Au terme de millions d'années d'évolution, la girafe a acquis une anatomie unique lui permettant d'accomplir des performances physiques pour brouter la cime des arbres.
Chez les Grecs, la girafe passait pour la fille du chameau et du léopard.
Le sage arabe Al-Qazwini dit d'elle : « Sachant qu'elle se nourrirait dans les arbres, Allah lui donna des membres antérieurs plus longs que les postérieurs ». Elle a été décrite, pour la première fois en France, par Pierre Belon (1517-1564)
En 1809, Lamarck pensait qu'à force d'allonger le cou, elle avait transmis ce trait à sa descendance. En 1872, Darwin pensait que son long cou était dû à une sélection liée aux périodes de famines, où un ou deux pouces faisaient la différence et permettaient de survivre.
Il s'agit de l'animal le plus grand en hauteur, pouvant, grâce à son cou tout en longueur, atteindre jusqu'à 5,50 m ou même 5,80 m. Cependant celui-ci ne comporte pas plus de vertèbres (7) que celui des autres animaux (ou que l'homme).
Son poids est de 950 à 1100 kilogrammes pour les femelles et peut aller jusqu'à 1500 kg pour les mâles.
Son espérance de vie est de l'ordre de 25 ans.
Son pelage à dominante rousse est réticulé ou tacheté de jaune.
Son ventre est blanc.
La tête porte deux petites cornes recouvertes de peau.
Elle est muette.
Pour la NASA, elle est le modèle idéal pour étudier l'effet de la gravité sur la circulation. Son cœur de 11 kg pompe 60 litres de sang par minute. Les phlébologues de la NASA ont copié son réseau sanguin pour réaliser la combinaison anti-G des pilotes de chasse et astronautes. Dans les artères du cou, tout un réseau de muscles annulaires aident en effet à hisser le sang jusqu'au cerveau. Dans les veines, les valvules, véritables soupapes, orientent le sang vers le cœur. Lorsque l'animal baisse la tête au sol, les valves de la jugulaire sont fonctionnelles et empêchent le sang de retomber vers le cerveau. La veine jugulaire de la girafe est la plus longue et la plus droite du monde animal et possède 9 valves. En 1993 à Vincennes son endoscopie confirma que les constituants anatomiques d'une veine sont orientés en fonction de son axe d'aplatissement et donc qu'une veine a bien deux faces et deux bords. En bas des jambes où la pression est énorme, un système de capillaires sanguins très résistants, comparables aux nôtres, empêche l'œdème fatal.
Sa course
Lorsqu'elle court, elle va à l'amble, à l'instar du chameau ou de l'ours, c'est-à-dire qu'elle lève ensemble les deux pieds du même côté. En vitesse de croisière, elle court à 15 km/h mais peut accélérer à 50 km/h en prenant un curieux galop. Les pattes avant se lèvent ensemble mais largement écartées pour éviter l'entrechoc des sabots et de s'emmêler les échasses.
En fait sa technique unique de galop est facilitée par son long cou qui balance et crée l'équilibre, grâce à un petit muscle spécial qui le tire en avant.
Sa nourriture
La girafe se nourrit de feuilles d'arbre et ne broute ou ne s'abreuve au sol qu'en écartant les pattes de devant ou en pliant les genoux, après avoir bien inspecté les alentours, et lève souvent la tête entre deux gorgées, bien consciente de sa posture périlleuse.
Les acacias de la savane ont grandi pour échapper aux zèbres et aux antilopes, mais leurs feuilles les plus tendres poussent entre 2 et 6 mètres, ce qui constitue pour la girafe la hauteur idéale et sa niche alimentaire.
Elle a la langue la plus puissante, la plus coriace et la plus longue (54 cm) parmi les ongulés. Elle peut l'allonger pour atteindre les pousses les plus tendres entre les barrières d'épines d'acacias.
La girafe n'a pas d'incisives à la mâchoire supérieure. Elle saisit donc les pousses d'acacias avec sa langue, puis les guide entre ses lèvres, referme la bouche et tire la tête en arrière pour racler les feuilles grâce à ses dents du bas.
Certains acacias (Acacia drepanolobium) se défendent en hébergeant dans des galles des fourmis agressives du genre Crematogaster, à la morsure cuisante à la bouche et aux lèvres des girafes.
La girafe mâle
Le grand mâle parcourt les pâtures des femelles pour trouver une partenaire. Il tente de dominer ses rivaux en leur coupant le passage et en dressant sa tête le plus haut possible. Le combat éclate lorsqu'un rival refuse de baisser la tête, de laisser le passage, ou fronce la lèvre en sa présence.
Dans les combats de girafes, les mâles utilisent leur tête comme une massue, qui est lourde, cornue et bosselée. Ses cornes sont massives et dures comme de l'ivoire et sur son front pousse une excroissance osseuse, la corne médiane.
Les deux mâles se cognent jusqu'à ce que l'un d'eux abandonne. La tête d'un mâle de 15 ans pèse 10 kg de plus que celle d'un jeune adulte de 7 ans, ce qui lui permet de gagner à tous les coups, mais le perdant est rarement tué ou blessé à mort et ils ne se battent jamais à coups de sabots.
Une fois qu'un mâle a conquis une femelle, ses amours sont caressants et paisibles, avec beaucoup de coups de langues.
Le girafon (ou girafeau)
La girafe peut commencer à mettre bas dès l'âge de 5 ans. La gestation dure 15 mois. La mise bas s'effectue debout, donc le girafon tombe de près de deux mètres de haut. Il y a des risques que le girafon meurt à la naissance car il peut mal tomber et se briser la nuque, mais cela est rare.
À la naissance, le girafon mesure 2 mètres pour un poids variant de 40 à 80 kg. Les jambes sont plus longues que le cou et sortent les premières. Le cou est proportionnellement moins long que celui des adultes. Sur la tête deux touffes de poils noirs recouvrent les cartilages des futures cornes, qui se souderont avec les os du crâne. On peut noter que c'est un des rares animaux dont les cornes existent dès la naissance.
À la naissance la girafe n'adopte son petit que s'il est capable de se tenir rapidement debout et de stimuler la lactation. Au bout d'une heure il doit tenir sur ses pattes pour atteindre les mamelles de sa mère où il pourra se nourrir d'un lait très gras. Dans le cas contraire, elle l'abandonne ou même le tue.
La mère se fait comprendre de son petit, en le caressant avec le bout de son museau. Elle l'incite ainsi à la suivre et à la téter, créant ainsi le lien maternel.
À six mois, il approche les 3 mètres et à 7 ans il aura sa taille d'adulte avec un minimum de 5 mètres.
Le girafon grandit de 1 mètre durant la première année de sa vie.
Publié par Nissouille à 14:00
Libellés : les girafes
lundi 4 juin 2007
Le Congrès d'Auteuil...
Un solide atout !
Au premier étage, le salon bibliothèque pouvant accueillir jusqu’à 25 personnes pour vos petits déjeuners, déjeuners ou dîners d’affaires.
Confort et tradition
Salle raffinée, chaleureuse et confortable avec ses tentures rayées de couleur ocre et rouge et ses tables parfaitement espacées pour préserver votre intimité.Ici pas de terrasse, mais de larges baies vitrées qui s’ouvrent sur la rue.
Publié par Nissouille à 10:25
vendredi 1 juin 2007
Suivez las explications du patron..toujours...
Publié par Nissouille à 17:13
Libellés : le quotidien, travail
Et un PV, un...
Publié par Nissouille à 09:25
Libellés : le quotidien